Installations expositions
Telles les grandes fêtes de cours au temps du Roi Soleil, l’exposition mets en scène les artifices dont use la magicienne Armide pour séduire le beau chevalier Renaud.
l’histoire fait partie de « La Jérusalem délivrée » publiée en 1581 écrits du poète lyrique italien Bernardo Tasso dit « Le Tasse ». Aventures épiques sur les relations entre chevaliers de la Première Croisade et les combattants.
La salle de magie d’Armide.
La presse Web en parle
Tournages en extérieur avec la magicienne Armide (Perrine Alizard)
et en intérieur, le chevalier Renaud
(Jean-Baptiste Plumeau).
À la réalisation Fred di Notto assisté
de Christophe Leray en régie.
Captation vidéo avec projections sur le danseur avant intégration et montage sur banc de production.
Durant la période des beaux-arts du rococo, des femmes (savantes) telle Mme d’Aulnoy s’ingénièrent à écrire des contes de fée emprunts de badinage et de satyre de son époque dans des univers emprunts de luxuriance et de fééries.
Elle a été présentée au public pour la première fois au château de Maison à Maison-Lafitte en 2019 puis fut installée au château de Rambouillet en novembre 2020.
Exposée au château de Puyguilhem en mars 2021.
Elle fait le bonheur du public depuis décembre 2022 à l’hôtel abbatial de Lunéville.
S’inspirant de la légende de la fée Mélusine.
Cette exposition est une évocation sur le thème des sirènes et autres créatures féminines peuplant les eaux profondes des mers et des lacs.
Elle met en relief la parabole suggérant le désir de rapprochement de la nature avec le monde des humains sans toutefois y parvenir réellement, leur désir d’amour les destinant à une fin tragique.
... au musée Benoît-de-Puydt
Présentée pour la première fois en 2021 au musée Benoît-de-Puydt à Bailleul.
Exposition en coproduction avec la ville de Bailleul.
Roussalka quitte son univers aquatique pour rejoindre l’être aimé.
Présentée exclusivement au château de Talcy du 15 juin au 1er décembre 2019, cette exposition entraîne le visiteur au long d’un parcours onirique à découvrir les poètes Pierre de Ronsard et Agrippa D’aubigné qui se consumèrent d’amour pour les dames de Talcy, Cassandre Salviati pour l’un et sa nièce Diane pour l’autre.
Voir les créations pour « Le chant des muses ».
« Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose …. »
Création originale présentée seulement du 20 octobre 2018 au 22 avril 2019 au château de Pierrefonds en écho à l’exposition web de la BnF produite en 2009.
Voir les créations pour
« Le roi Arthur, une légende en images ».
Créée en 2017 et présentée dans les châteaux de Maisons, Puyguilhem, Châteaudun, Bussy-Rabutin et Pierrefonds, l’exposition itinérante « Il était une forêt » révèle à travers sept grands thèmes les aspects à la fois magiques et inquiétants de la forêt.
On y croise des arbres à formes humaines par une nuit de tempête au milieu des cris du peuple de la nuit. tout droit sortis d’une gravure de Gustave Doré, des ondines au chant envoûtant émergeant d’un étang, les Willis, ces fantômes des légendes allemandes condamnées à danser éternellement, ainsi que des décors animés inspirés des contes de La Belle et la Bête et La Belle au bois dormant…
L’exposition sera présentée à la forteresse de Salses du 19 juin au 10 octobre 2021 et au palais Jacques Cœur à Bourges du 23 octobre 2021 au 27 mars 2022.
Un cabinet de curiosités était un lieu où étaient entreposés et exposés des objets collectionnés, avec un certain goût pour l’hétéroclisme et l’inédit. On y trouvait couramment des médailles, des antiquités, des objets d’histoire naturelle (comme des animaux empaillés, des insectes séchés, des coquillages, des squelettes, des carapaces, des herbiers, des fossiles) ou des œuvres d’art.
Apparus à la Renaissance en Europe, les cabinets de curiosités sont l’ancêtre des musées et des muséums. Ils ont joué un rôle fondamental dans l’essor de la science moderne même s’ils gardaient les traces des croyances populaires de l’époque (il n’était pas rare d’y trouver du sang de dragon séché ou des squelettes d’animaux mythiques).
Actuellement au château de Villeneuve-Lembron, l’exposition fût créée au château de Maisons puis présentée aux châteaux de Bussy-Rabutin, Puyguilhem, Cadillac. À la cité de Carcassonne, au palais Jacques-Cœur à Bourges et au Domaine Royal d’Angers.
En partenariat avec le CMN au château de Tarascon et au musée Benoit-dePuydt de Bailleul.